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LES PHARES

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LE PHARE SAINT-MATHIEU

: SE VISITE
Riche par son passé, sa nature, son patrimoine, le site de la pointe Saint-Mathieu est un lieu de promenades et de visites des plus agréables où se côtoient le GR34 et le parc naturel marin d’Iroise, l’abbaye édifiée à partir du XIe siècle, son musée et le phare, le Mémorial national des marins disparus en mer et le sémaphore. Après avoir gravi les 163 marches, le panorama est une vraie récompense. Le phare actuel est allumé depuis 1835. Haut de 37 m, son feu blanc éclaire l’océan toutes les 15 secondes. D’une portée de 29 milles, il signale la route à suivre pour entrer dans le goulet de Brest. Electrifié en 1937, il fut automatisé en 1996. Son dernier gardien a quitté les lieux en 2006. Le phare Saint-Mathieu est classé monument historique depuis novembre 2010.
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LE PHARE DU PETIT MINOU

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Ses lumières et sa vue maritime extraordinaires font du site du Minou, à Plouzané, un lieu très apprécié des promeneurs, randonneurs et géocacheurs. Au sommet de ces falaises qui dominent la plage du Petit Minou, un spot très prisé des surfeurs locaux, on peut respirer une grande bouffée d’air frais et admirer les mouvements des navires pénétrants ou quittant la rade de Brest.

Le phare emblématique de Brest et de notre Route des Phares ouvre ses portes cet été ! En effet, du 1er juillet au 5 septembre 2021, ce phare qui veille sur l’entrée de la Rade de Brest sera ouvert au public du mercredi au dimanche de 14h à 18h (tarifs des visites en bas de page).

LE PHARE DE KERMORVAN

Aligné sur les phares de Lochrist, Trézien et Saint-Mathieu, il indique les chenaux de la Helle et du Four. Sa construction et son allumage sont supervisés en 1849 par Louis Plantier, ingénieur en chef talentueux des Phares et Balises du Finistère.

Une vingtaine d'années plus tard, la nécessité par temps de brume de rendre 'visible' l'extrémité sud-ouest de la presqu'île de Kermorvan s'impose.
 

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LE PHARE D'ECKMÜHL

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Situé à la pointe de Penmarc’h, il a été inauguré en 1897, sa construction a été rendue possible grâce au don de la Marquise de Blocqueville, la fille du Maréchal d’empire Davout, nommé prince d’Eckmühl suite à la victoire d’une bataille napoléonienne. Des matériaux nobles ont été utilisés lors de sa construction. Depuis son sommet, il offre une vue imprenable sur toute la Baie d’Audierne.

LE PHARE DU TOULINGUET

La pointe du Toulinguet a toujours eu une valeur opérationnelle pour les hommes. Durant la préhistoire on s'y réfugiait comme dans un bastion naturel. Vauban en 1695, comprend vite que cette avancée rocheuse qui borde le goulet de Brest doit être une batterie de 6 canons. En temps de paix, la pointe du Toulinguet est utile pour recevoir un sémaphore construit en 1952.  Sous le phare les grottes du Toulinguet. Versant Nord, sur la plage, parfois, des phoques gris se prélassent!

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LE PHARE DE LA PYRAMIDE

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Construit en 1872, haut de 48 mètres, le phare tient son nom d’une pyramide de pierres, utilisée en alignement avec un rocher en forme de coq. Comme tous les phares en Bretagne, aujourd’hui, il est automatisé depuis 1993. De plus, il est visible depuis l’archipel des Glénan, à 20 km de la terre ferme !

Dominant la baie, emblème de la station balnéaire, il offre aux promeneurs un des plus jolis panoramas de Bénodet.

LE PHARE DE PONTUSVAL

Telle une mouette blanche tournée vers le large et scrutant l’horizon, le petit phare de Pontusval s’est allumé pour la première fois le 15 septembre 1869. Construit pour alerter de la dangerosité des récifs qui bordent la Côte des Légendes, il fait le relai entre le phare de l’Île Vierge et celui de l’Île de Batz. Un calcul rapide : 1869/2019... le phare porte fièrement ses 150 ans ! Il est classé aux Monuments historiques depuis 2011.

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LE PHARE DE TREZIEN

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Bâti en granit provenant des abords de la rivière Aber Ildut, le phare de Trézien sécurise la navigation dans le chenal du Four. Après avoir gravi ses 182 marches, vous accéderez à un panorama inoubliable sur l’archipel de Molène et l’île d’Ouessant. Son feu a une portée de 20 milles (soit 32 km).

LE PHARE DE KEREON

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Phare en mer construit au sud-est de l'île; À 3 km au sud-est de l'île d'Ouessant, dans le passage du Fromveur (courant très violent, pouvant atteindre 16 km à l'heure, dont le nom breton signifie "grande frayeur"), Kéréon est bâti sur l'écueil de Men Tensel, "la pierre hargneuse".

Entamée en 1907, sa construction put se poursuivre dans des conditions extrêmes, grâce à un don des descendants deCharles-Marie Le Drall de Kéreon.

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LA TOURELLE DES PERDRIX

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Symbole visuel de Loctudy et l'Ile-Tudy, la tourelle des Perdrix est située en mer à l'entrée du port de pêche de Loctudy, pour signaler une roche dangereuse pour les navires. Simple mât de bois en 1872 puis balise à voyant en 1886. C'est en 1889 qu'on érigera l'actuelle tourelle de 17,40 m. Elle commença à fonctionner en 1918. D'abord peinte en rouge, elle fut revêtue de ses célèbres damiers noirs et blancs en 1947.

LE PHARE DE L'ÎLE NOIRE

Ce large caillou de 60 m par 12 m est surmonté d'un phare depuis 1845. Aujourd'hui inhabité, il a été habité jusqu'en 1938 (par ailleurs date de la sortie de la première édition de l'album d'Hergé). Sa tour carrée, construite avec des matériaux locaux (granit de Cléder et de l'île Stérec, sable de la Baie de Morlaix...), fait 13 mètres de haut.

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LE PHARE DES PIERRES NOIRES

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Après quelques hésitations sur le choix de son implantation, le phare est édifié entre 1867 et 1872 sur « La Grande Pierre Noire », une roche située en mer d’Iroise, à l’ouest de la Pointe Saint-Mathieu, en bordure d’un redoutable chapelet d’îlots, de récifs et de hauts fonds : la chaussée des Pierres Noires, dont il prend le nom et qu’il balisera et sécurisera désormais.

LE PHARE DE TEVENNEC

Achevé en 1874, la plupart de ses gardiens ont tour à tour été frappés soit par la mort de façon brutale, soit par la folie. Henri Guézennec, premier gardien du phare, ne le savait certainement pas : le rocher de Tévennec, bien avant d’abriter un phare, était déjà connu dans les alentours comme le témoin d’événements tragiques. La cause ? Un mythe tenace selon lequel un naufragé serait mort de faim sur le rocher malgré ses tentatives d’appels au secours auprès des bateaux qui passaient à proximité. 

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LE PHARE DE LA JUMENT

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Le phare de la Jument porte son nom pour être érigé sur le récif d'Ar-Gazeg (La Jument en breton). Il est construit à l'entre du Fromveur, un passage entre Ouessant et l'archipel de Molène. Le choix de son emplacement a été validé pour créer une route allant de phare à phare évitant les écueils.

LE PHARE DE NIVIDIC

24 ans de construction dans des conditions périlleuses permettent à l’Ile d’Ouessant de se doter d’un phare supplémentaire. Les ouvriers et les matériaux étaient acheminés via un système de téléphérique. 

La tour balise Nividic était contrôlée depuis le Phare Le Créac’h à Ouessant  avant sa modernisation. Il s’agit du premier phare automatisé en mer.

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LE PHARE D'AR-MEN

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Ar-Men (en breton "la pierre") est un phare "en mer". Comme Kéréon, la Vieille ou la Jument, Ar-Men est difficilement accessible. Le plus éloigné de la terre, isolé au bout de la Chaussée de Sein (Finistère), Ar-Men a été surnommé par ses gardiens, l'Enfer des enfers.

Le phare d'Ar-Men est l'un des phares les plus connus, en raison de son caractère isolé. 

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LE PHARE DE L'ÎLE VIERGE

A Plouguerneau, le phare de l’île Vierge est un précieux repère pour les marins. L’île Vierge, située à 1,5 km de la côte, accueille en fait deux phares. Le premier phare construit en 1845, haut de 33 mètres, avait une portée de 18 miles, ce qui est nettement insuffisant compte tenu du grand nombre de récifs présents le long de notre littoral et du danger qu’ils représentent.

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LE PHARE DU CREAC'H

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Un des phares les plus puissants au monde... C'est la coupure entre la Manche et l'Atlantique. Identifiable par sa tour de 55m de haut (75m par rapport au niveau de la mer), à bandes blanches et noires, il guide l'entrée des bateaux dans la Manche. Allumé en 1863, électrifié en 1888, doté d'un feu-éclair en 1901 et de lampes au xénon en 1971, le Créac'h, qui signifie "promontoire" en breton, est l'un des phares les plus puissants du monde.

LE PHARE DE PENFRET

Le phare de Penfret est situé à l’extrémité Nord-Est de l’archipel des Glénan, à l’extrémité Nord de l’île de Penfret.

Le phare est une tour carrée surmontant un corps de logis en maçonnerie de pierres apparentes.
L’ensemble est construit à l’intérieur d’un ancien fortin. Les anciens logements de gardiens sont situés à 300 mètres du phare.

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LE PHARE DE L'ÎLE DE SEIN

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Le Grand Phare de l'île de Sein est construit à la pointe Nord-Ouest de l'île de Sein, dans le Finistère, entre 1950 et 1951 et remplace un premier phare construit en 1839 et détruit en 1944 lors de la Seconde Guerre mondiale. Inscrit au titre de Monument historique en 2015, il a vu ses gardiens le quitter en décembre 2015, même s'il était déjà automatisé depuis 15 ans.

LE PHARE DU STIFF

Le premier phare construit sur l’île… Le Phare du Stiff. Un des plus vieux phares en France encore en fonctionnement, le Phare du Stiff a été construit sur le point culminant de l’île (60 m). Suite à une visite en août 1685, Vauban propose la construction d’une tour défensive qui signalerait les dangers dans le Nord-Ouest de Brest.

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LE PHARE DE L'ÎLE DE BATZ

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Construit en 1836, le phare offre un splendide panorama sur l’île et ses abords. Culminant à 44 mètres de hauteur, le phare de l’île de Batz compte 198 marches.

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